Carrefour, 2e matinée de soutien à Jimmy.
Pour avoir déposé avec ses collègues un emballage vide de sex toy ("cadeau des syndicats") sur le véhicule du directeur à la fin de la manifestation du 31 mars, Jimmy est licencié pour faute lourde plus de 2 mois après, juste à titre d'exemple.
Ce message adressé à la direction nationale, qui se gave tout en annonçant plus de 2000 licenciements et qui supprime la prime annuelle, était vraiment bien peu de chose au regard de la gestion scandaleuse de Carrefour ! Mais le directeur du magasin agit comme au XIXe siècle…
Quasiment tous les clients interpellés trouvent ce licenciement parfaitement abusif et signent la pétition en nombre !
Boycott des magasins jusqu'à la réintégration de Jimmy à son poste !